Revenir à l'essentiel !

Je crois qu’aujourd’hui la seule chose qui compte c’est de revenir à l’essentiel, de revenir aux fondamentaux et d’enterrer la hache de guerre avec tout ce qui nous empoissonne le sang.

Ce discours n’a aucune vocation à être moralisateur, mais plutôt dans le but de clarifier mon état d’esprit réflexif, de vous partager ces réflexions issues de mes intuitions dans ce contexte planétaire qui déraille.

Ce soir, j’ai les larmes aux yeux de tant de déraison affective sur Terre. Affection oui j’ai dit AFFECTION. Ce mot qui gouverne en notre cœur pour faire les bons choix, ce mot qui sait enlacer nos semblables, au sens plus large que nos seuls proches, ce mot qui nous fait préférer ce qui est bon pour soi et pour l’Autre plutôt que ce que le média, le politique, le patron te dit. Te dit, t’ordonne ....

La manipulation de masse fonctionne en parfaite harmonie et nous maintient tous, tout un chacun dans une parfaite matrice, qui a pour destinée tôt ou tard l’effondrement. Ça tombe bien, la chute a commencée. L’étage duquel tu tombes est à peu près symptomatique de ton échelle sociale. Le constat est là. Et non je n’ai aucune envie de me taire mais plutôt d’être vraie, plus authentique que jamais.

Ce soir, je me sens triste car les magasins se vident, parce que l’ambiance mondiale a des allures d’apocalypse, parce que j’ai peur pour notre avenir. Mais une chose est certaine pour moi : de nouveaux paradigmes émergent, comme si de nouveaux icebergs apparaissaient.

Et à mon sens, ces nouveaux paradigmes convergent dans ce sens : ALLONS À L’ESSENTIEL !

De quoi nous souviendrons-nous quand la matière disparaîtra ?

Oui nous sommes faits de chair et d’os, nous avons besoin de manger pour nous solidifier, de boire oui. Mais quoi d’autre que ça est réellement important ? Ne nous sommes pas perdus dans la mondialisation ? Dans la croissance ? Dans le « Encore et toujours plus » ? La réponse actuelle est que les frontières ferment les unes après les autres, que les écoles ferment, les espaces publics ... comme si ... comme si nous devions nous occuper de notre propre intérieur, de notre propre convalescence avant la « mal a dit » ... Et nous sommes tous Ensemble dans cette même complexité, dans ce même trouble, comme si nous devions plutôt que se serrer la main, nous orienter les mains jointes comme belle image vers davantage de Foi, non spécifiquement religieuse mais vers cette grande Foi Universelle que nous méritons mieux, que nous méritons de dessiner des cercles de Paix et d’Amour Inconditionnel, envers nous-mêmes et tout un chacun.

Avec Amour & Lumière,

Angélique

Auteure : Angélique Cointet

Écrit le 13 mars a 22h08